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 Quelques fragments de moi, dans ton regard curieux

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MessageSujet: Quelques fragments de moi, dans ton regard curieux   Quelques fragments de moi, dans ton regard curieux Icon_minitimeDim 9 Fév - 17:28












Lyov (se prononce Lyof) ♠Machiavel ♣ 22ans ♦Humain (merci Dolyana)





Miroir, miroir... Que vois-tu?


Lyov a la peau blanche comme la neige tranchant avec ses courts cheveux noir lisses et fins, mais aussi ses ongles de couleur noire. Ses yeux quant à eux, sont d’un bleu de glace surmontés par de fins sourcils noirs. Comme tous les humains, Lyov a des oreilles rondes et courtes, mais celle ci sont décorées par des boucles d’oreilles simples.
Le jeune homme est grand, un mètre soixante-huit pour une cinquantaine de kilogrammes. Il est très souple et rapide se servant de ses bras et jambes sveltes mais musclés lui permettant, soit de fuir bien qu’il déteste ça, soit d’attaquer ce qui consiste son « jeu » favori. Il a de longs doigts fins et sur son index, on peut voir une grosse bague représentant une tête de mort de couleur noire.
Sur le visage de Lyov, on peut apercevoir deux expressions : soit un air un air froid et calculateur, soit un grand sourire carnassier qui rivalise avec les pires sourires vampiriques. Le jeune homme porte tout le temps du noir, à croire qu’il ne connaît pas d’autre couleur ( même si le noir n’est pas une couleur …) Mais ses vêtements changent … Ils varient du simple uniforme sportif : pantalon simple et veste noir, au long manteau noir à col montant en passant par le costume de soirée noir avec gants noirs.


Le reflet de ton âme...


Que pouvons-nous dire sur Lyov ?
C’est un assassin professionnel, craint et très recherché. Mais il s’en moque éperdument, jamais personne n’a réussi à le capturer et il tient à ce que cela continue ainsi. Malgré ses airs de mauvais garçon, Lyov est très compréhensif et sensible, mais il préfèrerait mourir plutôt que de l’avouer même si des fois, il a des élans de bonté et il aide les gens à régler leurs problèmes … Mais pas toujours avec la manière douce. Il a un certain goût pour l'argent et ne plaisante jamais avec ce dernier ( cf: histoire du personnage). Si on cherche à le tromper, il réagit avec un sadisme impressionnant. Le jeune homme n’est que très rarement en colère car il prend la vie du bon côté. Le fait qu’il doive se cacher, tuer pour de l’argent des personnes qu’il ne connaît pas ne le gêne absolument pas. Il adore ça. Mais il y a une chose qu’il déteste : les ordres. Si on veut lui demander quelque chose, il faut veiller à ce qu’il y ai les deux mots magiques : «s’il te plait » et « merci ». Sinon, il n’obéit pas ou fait le contraire de ce qu’on lui demande.
Avertissement très important, si vous discutez avec lui d’un sujet qu’il n’aime pas, observez le bien, s’il vous hurle dessus c’est que vous n’avez rien à craindre, par contre si il est parfaitement calme, fuyez en courant. Pas tout droit plutôt en zig-zag…



Il était une fois...


J’avais alors deux ans :

- C’est un beau garçon !
- Oui il est tout nouveau !
- Il deviendra magnifique !
- Ce sera le plus beau de tous !

J’observai le cercle de dame autour de moi, je les adorais toutes, mais il y en avait une qui était ma préférée, elle avait de longs cheveux noirs que je m’amusai à attraper et des yeux gris. J’avais entièrement hérité d’elle : Ma mère. Autour d’elle, il y avait toutes ses meilleures amies, c’est elles qui rythmaient mes journées. Elles venaient tous les matins et emmenaient ma mère et moi faire une balade en forêt, on mangeait ensemble là où on trouvait un joli coin, puis on revenait à la maison et je me promenai dans ce que je croyais être un domaine immense mais qui n’était rien d’autre que mes cent mètres carrés de maison pendant qu’elles discutaient. Mais un jour, les amies de ma mère tardèrent à arriver… Étant un enfant très précoce, je m’amusai à compter leurs heures de retard : une, deux, trois, quatre, au bout de la cinquième, ma mère décida d’aller les chercher chez elles. Elles vivaient en ville, et la ville, c’était loin … Elle ne pouvait donc pas me laisser seul. Elle me prit dans ses bras et m’emmena avec elle. Arrivée en ville, elle marcha d’un pas décidé vers la maison d’une de ses amies, moi dans ses bras. Plus on s’approchait de sa maison, plus il y avait du monde. Mais toute cette foule semblait effrayée et courait vers nous pour nous dépasser et s’éloigner de la maison, alors que nous nous approchions. Arrivant à dix mètres de la demeure, ma mère me posa à terre et s’approcha de la porte, celle ci était ouverte, elle entra et je l’entendis hurler. Du haut de mes quatre-vingt-trois centimètres, je m’approchai à mon tour pour découvrir ma mère, en pleurs, à côté du corps ensanglanté de son amie. Des qu’elle me vit elle me hurla :
- Cours !
J’avais l’habitude de lui obéir au doigt et à l’œil et donc, sans me poser de questions, je me retournai pour commencer ma course du haut de mes jambes minuscules … J'entendis un nouveau hurlement tandis que toute la foule qui avait fuit, réintégra les lieux. Le cri était celui de ma mère, j’en étais sûr. Il fallait que j’intervienne ! Me frayant un passage parmi la foule, je finis par retrouver ma mère … Enfin … Je finis par retrouver sa tête, détachée du corps et à moitié écrasée par les passants qui n’accordaient d’importance qu’au corps. Après, je fus bousculé par des dizaines de jambes qui m’assommèrent et m’envoyèrent rouler à l’écart, me protégeant sans le vouloir, d’autres coups potentiels. Après … je n'ai plus beaucoup de souvenirs... Mes souvenirs reprennent à mes sept ans et demi. Une jeune femme que j’aimai, mais moins que ma mère m’avait recueilli. J’appris alors son nom : Dryannysse. C’est elle qui s’occupa de moi de mes sept ans à mes neuf ans et demi. Je m’en souviens, c’était un jour où il faisait très froid, c’était un jour où j’étais pelotonné contre elle quand il arriva. C’était un homme qui portait un gros manteau en morceaux de cuirs grossièrement assemblés, une tunique de laine, un pantalon bouffant, et de grosses bottes de cuir. Il avait de longs cheveux bruns, noués en catogan dans son dos, et des yeux bleus, luisant d’un air malsain. Il s’approcha de nous et ma mère adoptive se plaça devant moi
- Qui êtes vous et que voulez vous ?
Il sourit
- Je suis le père de cet enfant, je viens le réquisitionner.
- Cet enfant n’a pas de père ! Et même si c’était vous, rien ne le prouve et je ne peux pas le laisser à un inconnu … Il me faut un papier officiel !
Il dégaina une grosse bûche de bois
- J’ai mieux qu’un papier officiel !
Il l’assomma grâce à ce gros bout de bois et se pencha sur moi pour m’attraper par la manche et me hisser sur son épaule comme un sac à patates. Il m’emmena à l’extérieur de la ville, dans un endroit sombre froid et humide où il me jeta à terre. J’examinai les alentours pour m’apercevoir que j’étais dans une espèce d’arène, mais avec un plafond. Mon regard se posa alors sur l’homme pour lui lancer un regard interrogatif. Il s’assit près de moi et me sourit
- Quel est ton nom ? demanda t’il
Je marquai une légère hésitation mais la bûche qu’il avait gardée dans les mains me dissuada de lui désobéir
- J…Je m’appelle Lyov …
Il s’approcha de moi en plissant les yeux
- C’est un nom prometteur …
- Je …Merci …
- Je vais voir ce que je peux faire de toi …
- Que me voulez vous ?
Il s’agenouilla près de moi et me chuchota
- Tu n’es pas tenace, rapide, ni particulièrement brillant, mais je vais t’apprendre comment abattre à l’usure ce qui sont plus tenace, plus rapide et plus brillant que toi, je vais t’enseigner la manière furtive, sournoise, polie de tuer les gens…

J’avais alors onze ans
- C’est bien ! Me hurlait mon maître depuis les gradins
- Ben sinon je serais déjà mort à l’heure qu’il est … Répliquai-je
Tout cela le fit rire.
J’étais toujours dans cette même arène et lui, était dans les gradins d’où il me balançait toutes sortes de projectiles en se déplaçant pour que ces projectiles viennent de n’importe quel angle, et moi, tout ce que je faisais c’était éviter … Voilà maintenant deux ans et demi qu’il m’entraînait sans relâche pour que je devienne une sorte d’assassin ou quelque chose dans le genre. Moi, je m’en fichais un peu …Après tout, cela me faisait faire un peu d’exercice …Aujourd’hui c’était un jour d’entraînement à l’esquive, et depuis ce matin, ( il était deux heures de l’après midi ) Azzr ( c’était le nom de mon maître ) me faisait faire divers exercices pour m’apprendre à esquiver toutes sortes d’attaques. Une demi-heure plus tard, il s’arrêta et je lui lança un regard interrogatif auquel il répondit par un simple :
- Manger …
Je hochai la tête et m’étirai pendant qu’il rassemblait ses affaires qui étaient réduites à : une bûche, et deux couteaux. Pour ma part, je ne possédais que deux dagues que je rangeai dans ma veste. Il m’emmena en ville et nous fîmes une rencontre inévitable. Nous rencontrâmes une affiche représentant nos deux portraits robots ainsi que cette phrase :«  Azzr et Lyov, quarante cinq ans et onze ans, très recherchés, rançon immense à quiconque les capturera »
Azzr arracha la fiche et soupira
- Les ennuis commencent …
Je regardai aux alentours et tirai légèrement la manche de mon maître, il me lança un regard interrogatif et je lui désigna les dizaines de passants qui avaient cette fiche en main et qui nous dévisageaient bizarrement. Soudain, il s’approchèrent considérablement et Azzr me tira en arrière pour se mettre devant moi et dégainer ses deux armes préférées et se préparer à combattre. Un homme hurla
- A l’attaque !!
Des dizaines d’hommes et de femmes se jetèrent sur Azzr répliqua. Ses coups achevèrent les trois quarts de ses attaquants, mais le quart qui restait lui sauta dessus et l’acheva à coup de bêche. Les larmes me montèrent aux yeux et je poussai un tout petit cri, des dizaines de tête se levèrent vers moi pour apercevoir … Rien. J’avais disparu. J’étais parti. J’étais maintenant en train de courir, et je ne m’arrêterais pas de sitôt … Je passai par l’arène et fixai son intérieur vide avant de continuer ma course, je ne sais pas où est ce que je veux aller … Sûrement dans une ville qui ne me connaissait pas sous mon identité de criminel …Le voyage dura une semaine avant que j’arrive à une autre ville dont je ne connaissais pas le nom … Mais elle non plus ne me connaissait pas … Pour que cela dure, je changeai alors de nom, pourquoi ne pas prendre mon deuxième prénom ? J’entrai donc en tant que citoyen dans cette ville sous le nom de Sebastian Machievel. Mais très vite, je commençai à manquer d’argent pour manger, je proposai alors mes services d’assassin privé contre de l’argent et la promesse de ne jamais révéler mon véritable métier …

J’avais alors douze ans

- Patron ?! Y’a l’gamin !
- Qu’est ce qui fous ici ?
- Ben j’chais pas …
- Ben demande-lui imbécile !
La grosse femme se tourna alors vers moi
- Qu’est ce qu’y veut ?

Je la fixais de mes yeux de glace et elle frissonna
- J’aimerais voir votre patron … Déclarais-je
- Eh patron !? Hurla t’elle, y’a l’gosse qui veut t’voir !
- Qu’il monte j’suis à l’étage !
Elle se retourna vers moi
- T’a entendu ? Monte !

Je la fixais encore quelques secondes puis la contournais pour me diriger vers les escaliers de bois que je montais marche par marche pendant que la femme crachait dans une carafe pour la nettoyer en maugréant :
- L’est pas net ce gosse … L’est pas net …
Un léger sourire étira mes traits lorsque j’arrivais enfin à la porte du bureau du patron que je poussais sans attendre. Il était là, à l’intérieur, mangeant goulûment une énorme pâtisserie qui coulait plus sur lui que sur la minuscule serviette qu’il avait sur les genoux. Il râla lorsque j’entrais
- Y peut pas toquer l’gamin ?
Ignorant les râlements de l’homme, m’approchant de lui, je m’assis sur son bureau et fouilla ses documents pour trouver les trois qui m’intéressaient. Je chuchotai alors
-       Facture impayée … Impôts … Dette …Vous comptez payer ça quand ?
- Qu’est ce qui s’mêle de mes affaires lui …
Je ne répondit pas et vu son bras bouger et glisser vers un léger tiroir qui je le savais, contenait une arme. Il n’eut pas le temps de toucher la poignée, qu’il sentit quelque chose de froid sur son nez, son regard revenu vers moi et s’arrêta sur la pointe de la dague que j’avais posée sur ses narines, je murmurai
- N’y pensez même pas …
Je marquai un temps de silence pour enfin lui ordonner :
- Debout.
- Q… Quoi?
- Debout !
Il se leva et je le guidai avec mon arme jusqu’au mur où je le plaquai. Il eut un air effrayé
- Que va tu m’faire ?
Un léger sourire étira mes lèvres
- Je verrai si tu es sage ou pas …
- Je serai sage ! Je t’en supplie ! Ne me tue p… Commença t’il.
Je le coupai en lui appuyant la lame de mon arme sur le menton, par en dessous, pour lui fermer la bouche
- Je ne choisis pas qui je tue … Mais je le fais seulement si l’on me paye …
Voyant qu’il voulait me parler, je lui remit l’arme sous le nez
- Epargne-moi ! Je t’en supplie ! Je te paierais !
J’éclatai de rire
- Toi ?! Tu me paiera ?! Avec quoi ? Tu n’as même pas un rond pour me payer une bière !
- Mais je te l’offre ta bière si tu veux mais je t’en supplie ne me tue p…
En deux secondes, je lui remis la dague sous le menton et fis un geste horizontal, droit et précis. Une gerbe de sang fut projetée sur le mur et sur mon visage, j’entendis le cri de surprise de la jeune femme pendant que je sortais un mouchoir de ma poche pour m'essuyer le visage. J'entendis alors les pas de la grosse dame qui montais les escaliers, j'entendis aussi les pauvres escaliers qui craquaient et qui grinçaient sous les quatre-vingt-cinq kilogrammes de graisse de la dame … Je cherchai rapidement un moyen de l’achever sans lui tirer une balle, vous comprenez il fallait que sa reste accidentel … Moi ma mission c’était de le tuer lui, pas elle …J’avais assez de sang sur les mains pour cette fois … Tout à coup, l’inspiration vint, la porte est fermée, mais le bois qui la composait commençait à pourrir, alors je la défonçai d’un coup de pied pour lancer ma dague et faire sauter LE clou qui maintenait les escaliers de bois qui s’effondrèrent alors sous le poids de la matrone qui mourut en touchant le sol. Je m’apprêtai à sortir par la porte d’entrée comme si de rien était, mais je vis des passants intrigués qui s’approchaient, je ne pouvais pas sortir par-là … Dommage … Je retournai donc dans le bureau pour m’enfuir par la fenêtre. Arrivé au sol, je rabattis ma capuche sur moi et m’en allai vers la maison de la personne qui était censée me payer. Celle ci m’attendait une bourse à la main, bourse que je saisis. Dès que ma main toucha le cuir, je sentis l’arnaque … Je dégainai brusquement mon arme pour la pointer sur l’homme qui se plaqua contre la porte, effrayé
.- Mais je vous ai payé !! Que voulez vous de plus ?!
Je souris
- Ah ouais tu m’a payé ?
J’ouvris la bourse et la vidai par terre, des grains de riz, elle était remplie de grains de riz. Je me tournai alors vers l’homme qui avait à présent encore plus peur. Il bégaya :
- laissez-moi dix secondes ! Je vais vous chercher l’argent nécessaire !! Ne me tuez pas !
Je murmurai alors
- Je te laisse dix secondes mais pas une de plus.
Je le vis pousser un hurlement de peur et se jeter dans sa demeure pour chercher les sous nécessaires à mes services pendant que je commençai à compter. Cela me rappelai mon enfance quand je comptais les heures de retard des amies de ma mère. Sauf que là, je comptai les secondes qui me séparaient d’un nouveau meurtre.
- Un … Deux … Trois … Quatre…Cinq…Six…Sept…Huit…Neuf…
Quand je prononçai de « D » de dix je le vis revenir, mais il lui restait à courir vers moi … Je voulais qu’il soit comme tout à l’heure : à un mètre dix-huit de moi. Mais malheureusement pour lui il arriva à un mètre quand je prononçai les deux dernières lettres. Je fis alors mon habituel geste horizontal, droit et précis. Il s’effondra au sol, à un mètre dix-sept de moi. Je ramassai l’argent pour m’éloigner calmement, j’aimai cette nouvelle vie …  


Et si tu étais magique?

Il n’est pas magique :3 Il est juste classe


Laisse tomber le masque...

Nom ou Surnom: Neo
Âge:ECRIRE ICI
Comment as-tu connu le forum?Par une demande de staff
Code du réglement:
Spoiler:


Dernière édition par Lyov Machievel le Dim 9 Fév - 18:41, édité 1 fois
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Doylana Katell

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MessageSujet: Re: Quelques fragments de moi, dans ton regard curieux   Quelques fragments de moi, dans ton regard curieux Icon_minitimeDim 9 Fév - 18:37

J'ai adoré te lire! Ton style d'écriture est vraiment agréable.

Je n'ai qu'une question: Tu es humain?

Sinon tu as mon OUI.
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MessageSujet: Re: Quelques fragments de moi, dans ton regard curieux   Quelques fragments de moi, dans ton regard curieux Icon_minitimeDim 9 Fév - 18:39

Je suis courge moi j'ai totalement oublié de le préciser ^^ Oui, il est humain *va vite le rajouter* sinon merci beaucoup *.*
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MessageSujet: Re: Quelques fragments de moi, dans ton regard curieux   Quelques fragments de moi, dans ton regard curieux Icon_minitimeDim 9 Fév - 19:08

Bienvenue à toi ^^
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MessageSujet: Re: Quelques fragments de moi, dans ton regard curieux   Quelques fragments de moi, dans ton regard curieux Icon_minitimeDim 9 Fév - 19:11

Merci à toi :3
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MessageSujet: Re: Quelques fragments de moi, dans ton regard curieux   Quelques fragments de moi, dans ton regard curieux Icon_minitimeLun 10 Fév - 10:48

Bonjour et bienvenu.

J'adore ton style d'écriture, j'ai vraiment accroché ;-).
Juste un petit détails, 1.68 m c'est pas grand pour un homme humain adulte, (C'est ma taille et je suis une femme) donc n'hésite pas si cela te dit de lui rajouter une dizaine de centimètres ;-)

Pour moi c'est un oui.

 Very Happy 
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MessageSujet: Re: Quelques fragments de moi, dans ton regard curieux   Quelques fragments de moi, dans ton regard curieux Icon_minitimeLun 10 Fév - 11:09

Grand ?...1m68 c'est grand pour toi ? x)
Désolé, mais fallait que je réagisse là Razz
Moi je fais 1m90...et mon personnage, Quirin, fait carrément 2m03, il est quoi lui alors ? x)
Pour un homme, grand c'est minimum 1m80 Wink

Sinon, bienvenue parmi nous l'ami Very Happy

File finir sa fiche...depuis le temps...
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MessageSujet: Re: Quelques fragments de moi, dans ton regard curieux   Quelques fragments de moi, dans ton regard curieux Icon_minitime

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