Son caractère. Voila un vaste débat qui peut alimenter les discutions des commères du coin. Le premier mot qui vient à l’esprit est « Changeant ». Ragnar peut changer du tout au tout suivant la situation, ou du pied avec lequel il s’est levé le matin. Essayons alors de retracer les grandes lignes.

Curieux, oui c’est une chose qui ne changera jamais. Les Celtes vivent de la même manière depuis des générations, sans se soucier de progresser dans quoi que ce soit. Lui est différent, il est curieux et à soif de savoir. Si quelque chose l’intéresse assez ou que cela le titille, il sera alors l’homme le plus patient du monde pour écouter et comprendre.

Cruel. Ho oui, c’est aussi une très bonne manière de le décrire. Que ce soit pour rendre justice, lors de combat ou pour autre chose, la cruauté inscrite dans les gènes de son peuple parle sans aucun scrupule. Torture, pillage, viol, massacre. Rien n’est de trop pour lui. Un ennemi ça s’élimine, quel que soit le moyen le plus sûr d’y arriver.

Pour le reste, il est quelqu’un de plutôt calme et réfléchit lorsqu’il le veut bien. Capable de retenue lorsque c’est nécessaire, Ragnar sait s’adapter à la situation et garde un très grand recule sur ce qu’il se passe. Cela lui permet aussi d’être un excellent stratège par rapport à ses pères. Néanmoins, les joies de la beuverie, de la camaraderie ou des divers jeux reste quelque chose qu’il affectionne, et il n’est pas rare, voir plutôt courant de le voir descendre de grande quantité d’alcool avec ses hommes et de participer à divers bras de fer ou autre démonstration de force.

Enfin, la face la plus importante de son personnage concerne la religion. Car elle influe grandement sur sa vie. Ragnar comme son peuple croit que trois grands dieux se partagent le monde. Thark, dieux de la guerre et de la foudre, Lokus dieux de la mort et de la vie, et Nerva déesse de la nature et la culture. Chaque dieu dirige à sa guise la vie des hommes, dont chacun à une destinée. Thark restant le plus important et le plus vénéré. Et c’est la que sa religion l’influence grandement. Pour lui, chaque combat, chaque mort est une offrande aux dieux. Et si un Celte meurt au combat de manière glorieuse, il rejoint le Valalha, le palais des dieux ou chaque jour ils combattent les uns contre les autres, et le soir venue chaque mort revient à la vie pour festoyer puis combattre à nouveau le lendemain sous l’œil attentif des dieux…
Cela se retrouve chez lui dans sa soif d’aventure, de combat et de gloire. Il n’a aucunement peur de la mort, car mourir au combat signifie renaitre…

C’est un guerrier ! C’est la première chose qui vient à l’esprit lorsque l’on pose ses yeux sur Ragnar. Et cela n’a rien à voir avec ses habitudes vestimentaires ou les armes qu’il arbore souvent. Mais quiconque à un minimum d’intelligence le remarque tout de suite.

Ce Celte est plutôt grand, approchant le mètre quatre-vingt dix. Et sa carrure parle pour lui. Des années de combat et de labeur aux champs lui ont offert un corps musculeux dont la peau est halée par le soleil. Mais il n’est de guerrier qui garde une trace de ses exploits ou de ses défaites, c’est pourquoi il n’est pas rare d’apercevoir une cicatrice ici où la, faite par une flèche ou une lame. Certaines sont presque effacées par le temps alors que d’autres sont encore pleinement visibles.
Son bras droit lui, comporte un tatouage typique de son peuple, à la gloire de ses dieux. D’un bleu clair, il commence au niveau du coude pour envelopper tout le bras et finir sa course après l’épaule. Selon les croyances, ce tatouage donne plus de force et de vitesse à ce bras assassin qui tue pour la gloire des dieux et le Valalha.

Sa coupe de cheveux rajoute au personnage. Rasée sur les cotés, ses cheveux blond sont bien souvent attacher sur l’arrière de son crane afin de ne pas le gêner lors des combats. Une tresse ou un simple lien de cuir permet de garder le tout en place. La barbe elle, est plus ou moins longue suivant ses envies du moment, mais il est rare qu’elle devienne trop envahissante.

Pour finir, on ne peut décrire Ragnar sans parler de ses yeux. Des yeux d’une clarté impressionnante et d’un bleu lui donnant un air d’ange. Et c’est bien ça qui fait tout le mystère de ce personnage. Comment un regard si pur, monté sur un corps de guerrier peut alors devenir d’une froideur terrifiante. Car c’est de cela qu’il retourne, un regard si froid qu’il lui suffit bien souvent pour calmer l’ardeur de ses hommes.

Coté vestimentaire, et bien, l’on peut le retrouver dans tout les accoutrement possible. Une seul ligne directrice, la simplicité et le coté pratique. C’est pourquoi, la plus part du temps, de simple vêtement l’habillent. Une ceinture de cuir lui permet de maintenir le tout près de son corps. Sa hache et un couteau de chasse ne le quittent jamais. Bien souvent, des protections de bras et de jambe en cuir viennent parfaire la décoration. La seul différence notable est ça tenue de guerre, qui lui offre une brassière gauche en métal ainsi qu’un bouclier rond en bois et en acier peint aux couleurs de sa famille.
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Avant de pouvoir vous conter l’histoire du grand Khan Ragnar, il faut passer par une étape au combien importante et essentiel. Et pour cela il faut répondre à une question : « Qu’est ce que Celtica ? ». Car si décors n’est pas planté, le héros ne représente rien…

Commençons alors par le commencement.
Celtica est une ile sauvage d’une taille plutôt impressionnante mais isolée. Située bien au Sud des continents connus, elle trouve ça particularité dans les nombreux fleuves et rivière qui la sillonnent. Le terrain et si accidenté que construire quelques choses n’est possible qu’exclusivement proche de la mer ou d’un cours d’eau. Cela empêche la construction de grand village, et qui explique ainsi le fait que ses habitants soient dispersés en petite communauté un peu partout.

Entouré de forêt, le travail du bois est une valeur sûr, aussi que ce soit pour les bateaux ou les maisons, les menuisiers sont fortement prisés. Et même si les bâtisses faites de bois et de chaume semblent rustique, à y regarder de plus prêt on peut en comprendre la grande complexité et même y trouver une sorte de beauté. A contrario, toute pièce d’orfèvrerie est bien souvent grossière, et le métal n’y est pas d’une qualité grandiose.

On peut compter environs 5000 âmes Celtes réparties en une 20e de communautés dirigée par des familles. Chaque village à son chef que l’on appel un Khan. C’est généralement lui qui détient les navires de la communauté. Entourée d’un océan dangereux et mortel, les celtes n’ont jamais eut de contacte avec l’extérieur, et on vécu replier sur eux même. C’est d’ailleurs ce qui en fit une race de guerrier redoutable.

Les celtes vivent principalement de la terre et de la mer. Chacun est d’abord un fermier ou un pécheur. La communauté partage toujours ses biens et effectue du troc. Oui mais voilà, les ressources sont limités, et l’herbe est toujours plus verte ailleurs. C’est pourquoi depuis des générations, les divers villages se font la guerre à coup de raid éclaire et de pillage afin d’augmenter leur qualité de vie. Combat, ravage, viol sont monnaient courante. Aussi, chaque homme et une partie des femmes deviennent des guerriers par la force des choses dès leur plus jeune âge. Ainsi règne en maitre une loi unique : Ce que tu prends est à toi…

Enfin, une des choses les plus importantes à savoir sur cette population est le caractère ultra croyant des celtes. Mais contrairement aux autres nations qui glorifient les dieux via des temples ou autres construction, les celtes eux les honorent dans leur geste de tous les jours.
Ainsi, Nerva, la déesse de la nature et de la culture est honorée en cultivant la terre et remercier lorsque la récolte est bonne. Une légère prière est effectuée lorsque la pèche ou la chasse a été fructueuse. Ainsi, tout tarissement de ses ressources est perçu comme le signe d’un mécontentement de la déesse.
Lokus, dieux de la mort et de la vie est honorée par chaque naissance et mort naturelle (bien qu’assez rare..). Souvent ces situations sont l’occasion de sacrifice d’animaux en guise de remerciement.
Enfin, vient Thark, le plus puissant des trois, dieu de la guerre et de la foudre. Chaque coup d’éclaire est selon la légende le fruit d’un coup de son marteau. C’est en son nom que combattent quasiment tout les guerriers, et chacun espère se distinguer au combat pour attirer ses faveurs.

Selon la croyance Celte, ces trois dieux vivent au Valalha. Un immense palais dans le ciel. Si quelqu’un meurt au combat, les armes à la main et qu’il a été courageux, les dieux viennent chercher son âme et l’emmène avec eux. Là haut, chaque jour ils combattent les un contre les autres. Et chaque soir, les morts reviennent à la vie pour festoyer avec les dieux et recombattre le lendemain…
Cela se traduit par une coutume, et d’ailleurs l’une des rares de ce peuple lors des funérailles. En effet, le défunt s’il est mort au combat est enterré face contre terre et ses armes à la main, ainsi, le temps que les dieux viennent le chercher, il aura de la haut le regard tourné vers ses proches et pourra ainsi veiller sur eux en cas de danger.



Tout ce joyeux mélange de croyance et de typographie fait des Celtes une race que beaucoup qualifieraient de barbare. Les pillages et les massacres sont courants, les hommes meurt avec le sourire, aucune habitation de pierre et encore moins de magie. Mais pour peut que l’on s’y intéresse un petit peu, on se rend alors compte qu’ils savent être chaleureux. Et rien de mieux pour cela que d’avoir l’opportunité de les cotoyer lors d’un festin (Attention, on en sort bien souvent avec un sacré mal de crâne et quelques bleus…)




Ragnar est une personne ordinaire, qui veut s’offrir une vie extraordinaire…
Pourtant, son enfance n’a rien à envier à une autre. Fils de Kolsfar Aledan, il est le 3e fils d’une famille unie et épanouie. Durant les premières années de son enfance, comme tout les garçons de son âge, il apprit les rudiments du maniement des armes, et passait une bonne partie de son temps à aider sa communauté dans les cultures où à la pèche. Sa seule particularité était sa grande curiosité et son intérêt pour toutes les histoires et légendes de son peuple.

Mais le premier tournant de sa vie arriva bien vite. Vers l’âge de 12 ans, une attaque s’abattit sur son village. Trop jeune pour prendre les armes efficacement, et en tant que fils du Khan, il fut chargé d’emmener les petits dans la forêt loin des combats. Avec une 10e de gamins, il disparu dans les arbres alors que les premiers chocs de métaux se faisait entendre. Malheureusement pour eux, quelqu’un les avait vus, et deux hommes virent à leur rencontre. Il n’était pas vraiment de coutume de massacrer les enfants, mais ils faisaient bien souvent office de monnaie d’échange ou d’esclave. Et Raganar, du haut de ses 12 ans refusait cette vie qui se profilait à l’horizon. Il saisit une hache de bûcheron et se prépara a défendre sa vie. Les deux hommes rirent en voyant ce petit gamin s’armer. Mais ils déchantèrent vite, car il lança de tout ses forces l’arme vers le premier d’entre eux qui surpris n’eut pas le temps de lever son bouclier. Il s’effondra alors, son visage marquant encore sa surprise, tête la première, la cage thoracique défoncée. Ragnar prenant alors conscience de son erreur de s’être débarrasser de sa seule arme pria intérieurement les dieux alors que le survivant s’approchait avec la ferme intention de venger son ami.
Mais à moins d’un mètre de sa cible, un bras passa autour de son cou et lui sectionna la gorge. Ragnar leva sa tête éclabousser de sang et ses yeux bleus se posèrent sur une jeune femme. Il était clair qu’elle n’était pas Celte. Mais avant d’avoir pu dire quoi que ce soit, elle avait disparu.
Une heure plus tard, le calme était revenu, et l’attaque avait été repoussée. Mais aux prit de très grandes pertes. Le père de Ragnar et son plus jeune frère avait péris. Sa mère grièvement blessé. Et beaucoup de villageois étaient mort. Mais il ne fut pas triste, ils étaient mort les armes à la main, et seraient à coup sûr accueillit au Valalha. Ses propres exploit furent loués car beaucoup crurent qu’il c’était débarrasser seul de ses deux agresseurs. Depuis ce jour, la hache fut son arme et son symbole.

La vie repris son cours. Sa mère décédait l’hiver suivant, trop affaiblit par sa blessure pour supporter le terrible froid qui c’était répondu sur Celtica. Le village avait retrouvé sa force sous la direction du frère ainé alors que Ragnar prenait de plus en plus de responsabilité.
Il avait 20 ans quand son frère tomba à son tour. Il se retrouva donc Khan. Mais ses idées nouvelles nées de sa curiosité changèrent beaucoup de chose. Il fut le premier à faire fortifier le village pour obliger l’attaquant à approcher que d’un seul endroit. Et son autorité née de ses qualités de combattant lui apporté l’amour et le soutient des siens. Il épousa même une femme, qui lui donna une fille. Mais les deux périrent lors de la mise au monde, et il mit plusieurs mois à s’en remettre, hurlant aux dieux son incompréhension.

C’est vers ses 22 ans que le deuxième virage de sa vie allait se dessiner. L’hiver approchait, et son village manquait de bétail. Il avait alors prit la tête d’une expédition pour aller piller un village réputer pour avoir de nombreuses têtes. L’attaque eut lieux au lever du jour par la rivière. Ils débarquèrent sur la rive et se mirent en phalange, offrant un mur de bouclier et d’acier au défenseur qui vit se jeter dessus. Une fois le gros de la charge encaissé, la formation éclata et les corps à corps sanglant purent commencer. Mieux organiser, ils prirent le village en quelques minutes, dispersant les défenseurs et pillant les maisons les plus proches tout en s’adjugeant le bétail. Ragnar avançait entre les maisons quand un sifflement l’alerta. Il eut juste le temps de lever son bouclier pour intercepter une flèche. Il baissa sa protection, repéra son auteur qui prenait la fuite. Il arma son bras, ajusta sa visé et lança. La hache vint se planter dans la colonne vertébrale sur malheureux qui s’écrasa contre une porte l’ouvrant à la volée. Il parcourut la distance qui le séparait de sa victime pour récupérer son bien. C’est alors que ses yeux s’écarquillèrent de surprise. Là, dans la maison se trouvait la femme qu’il avait déjà vue… Malgré les années, jamais il n’avait pu oublier cette étrangère qui l’avait sauvé. Et ce n’était pas difficile de la reconnaitre, pour la bonne et simple raison qu’elle n’avait pas changé, pas pris une seule ride malgré plus de dix ans… Alors qu’il était figé devant cette vision venue de son passé, la jeune femme lui dit dans un calme olympien.
« Tu en as fait du chemin... ».

Dès lors, sa vie ne fut plus la même. Cette étrangère, messagère des dieux lui dévoila son destin. Et où se situait l’avenir de son peuple. Elle lui apprit l’existence d’autre terre, loin par delà la mer. Une terre riche et prospère… Mais pour pouvoir prétendre à ses richesses, il lui fallait unir les celtes sous une seule bannière… Sûre de sa destiné et fier du futur que lui réservait les dieux, Ragnar mis toute ça personne dans son projet.
Il lui fallut prêt de quatre années pour unifier les villages. Et cela eut lieux dans le sang et la mort. Contrairement aux raids classiques, Ragnar débarquait avec ses hommes, et exigeait un duel devant les dieux face au Khan adversaire. La loi était claire, ce que tu prenais était tien. Ce qui signifiait qu’en tuant le chef du village, il en prenait le contrôle. Chaque duel donnait lieux à des douleurs et un mort, et nombreuses de ses cicatrices venaient de ces moments.
Alors qu’il avait unis prêt d’un tiers des villages, deux des plus puissants, voyant la menace arriver s’unifièrent pour le défaire. La bataille eut lieux sur le bord de la mer, et les deux armées se firent face. Une fois encore, Ragnar demanda un duel, mais il se le vit refuser. Haineux face au manque de fierté des deux chefs adverses, il lança aux celtes face à lui :
« Si vous vous battez aujourd’hui contre moi pour ces pleutres, je peux vous jurer une chose : Aucun de vous ne survivra, et vos familles en payeront le pris. Rejoignez moi, et vous aurez la vie sauve, et je vous offrirai la gloire ».
Mais aucun ne bougea, et le combat donna lieux à un véritable bain de sang. La mémoire Celte sans souviendra comme la bataille de la mer rouge, car l’eau et le sable étaient ingurgité de sang lorsque la bataille pris fin.
Mis en déroute, les deux armées retournèrent dans leur village respectif. Ragnar et ses hommes les attaquèrent alors chacun leur tour. Les survivants furent rassemblés sur la place principale. Les deux Khan furent plantés sur la coque de leur navire et moururent ainsi dans d’atroces souffrance. Tous les soldats furent égorgés ainsi que la moitié des femmes et des enfants. Cette cruauté fut vite relayer vers les villages restant.
La fin de la campagne d’unification fut rapide. Ragnar étaient intraitable de par la taille de sa force armée. Et beaucoup commençaient déjà à murmure que sa force et son savoir venait d’une étrange sorcière qui l’accompagnait partout. Quelques Khan décidèrent de se battre pour l’honneur et périrent. Ragnar leur offrit des funérailles à la hauteur de leur bravoure. Mais il n’y eut plus aucun massacre car tous se rangèrent peut à peut sous sa bannière.
Un seul chef refusa le duel et ordonna à ses guerriers de lui tenir tête. Ragnar leur adressa le même discours. Et les soldats, échaudé par les rumeurs et surtout par l’histoire du massacre lui livrèrent leur chef qui se fit exécuter. Car Les Khans qui se rendaient sans combattre étaient tué, car Ragnar ne supportait pas la couardise.

C’est ainsi qu’au début de ses 25 ans, il était devenu le grand Khan, le chef de tous les celtes. Il était monté sur cette montagne qu’aucun des siens n’avait jamais gravie. Une montagne de cadavre et de mort d’où coulait une rivière de sang et où soufflait un vent provenant des râles d’agonie. Mais il était le chef suprême. Et même si Celtica avait payer un lourd tribu en vie humaine, un nouvel horizon se profilait pour eux.
Durant les deux années qui suivirent, Ragnar réorganisa les celtes. Les villages côtiers furent rassemblés en un seul et même endroit où il centralisa les décisions et bon nombre de chose. Ce village qu’il appela Thanit devint le seul et unique port et fut entouré de fortification. Les villages dans les terres furent réaménagés pour se spécialiser dans l’agriculture et l’élevage. Tout comme il avait décidé d’un massacre ignoble pour en éviter d’autre, il avait fait en sorte que chaque village dépendait les un des autres, et que tous dépendait de lui. Ainsi il tuait dans l’œuf toute querelle intestine comme en avait vécu son peuple depuis des générations.
Pendant 2 ans, son peuple pensait ses plaies et construisait une flotte de guerre. Il commença même à dessiner les prémisses d’une armée de métier qui serait payer suivant les pillages qu’ils allaient faire.

Aujourd’hui, le Grand Khan des Celtes à sous ses ordres plus de 500 guerriers et 4500 âmes.
Chacun regarde dans la même direction que lui… Et ses yeux bleus sont tournés vers le continent… Vers cette terre inconnue où l’attend son destin. Vers ses richesses, vers cette gloire que lui ont promit les dieux… Et derrière lui, un léger sourire se dessine sur le visage de Senja la sorcière…

Pseudo: SaYoLe par habitude
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