B'zour 8D
Oui c'est moi , je viens postuler pour prendre se personnage .Comme je n'ai pas vue de formulaire pour prendre un pré-crées et bien je postule quand même . En espérant que cela convienne au Staff . J'ai choisie ce personnage car j'aime son caractère et son histoire et je me sens capable de le jouer . Je lui ai même trouver un petit nom : Zakarÿ Baldr Malraöok . Et je croit que c'est tout .


Et le voiçi , le fameux Rp d'exemple :

Zakarÿ Baldr Malraöok . Roi de Aetarh . Contentez-vous, pour le peu que vous êtes, de m’appeler Seigneur Baldr . Huhum , taisez-vous ! C’est à mon tour de parler mes frères et sœurs . Je me tourne vers mon trône, ou s’étend une couverture de velours d’un rouge écarlate, dansant lentement, au travers même de l’étoffe, une légère couleur cramoisie. Le regard absent, je m’avance vers mon trône. Un bruit de cliquetis sourd résonne dans toute la pièce entière. Ce sont mes talons hauts. OUI ! Je porte des talons hauts et puis ? C’est très sensuel, vous saurez. Mais comment pourriez bien vous savoir, alors que vous ne possédez qu’une minable année de formation. Haha ! Quel sens de l’humour. Décidément, Zakarÿ, tu ne faiblis jamais. NON ne jamais faiblir voyons. Quel culot vous avez de me traiter ainsi. Je vous lance un regard de mort, emplit d’éclairs et attrape à la volée l’arc d’un de mes gardes et enclenchant le mécanisme, je prends mon temps, le temps coûte si cher . Je ferme un œil et laisse glisser lentement la flèche sur le bout de mon index. Un sifflement fend l’air ambiant et se fait une place dans la carotide de votre cou. Huhum, l’ironie coute aussi cher qu’un dollar au marché. Je lui relance son arc et balaie de la main le plancher que vous venez de salir avec le sang de votre corps. Cette odeur si, sucrée. Mélancolie, mais d’une tel ennuie.

Je ferme les yeux et m’assoies, le doigt vouté, les mains jointes ensemble, je rabats le capuchon de ma redingote noir de jais sur ma tête . La couleur rouge écarlate de mes cheveux se fond dans le décor moisi et sombre de mon palais . Je soupire et relève mon regard effacé sur mes loyaux sujets. Ils sont effrayés et c’est ce qui me plaît chez eux . Ils passent leur temps à rester effrayer, et pourtant, ils sont stupides, mais ils restent fidèle à moi-même. J’ouvre lentement mes lèvres pour n’en laisser voir que le bout de mes dents. Mon héritage vampire ne passe pas inaperçu. Je laisse glisser sur mes canines un peu plus prononcées ma langue. La pointe est aiguisée et parfaitement dessinée. Je souris encore, cette fois, mon sourire est beaucoup moins apeuré, cruel ou froid, mais je tape dans mes mains et lève mes bras dans les airs.

-Mais qu’avez-vous donc tous à faire une tête de mort ? Auriez-vous par hasard pêché dans le dos de votre femme, petit chenapan ?

Je plisse mes yeux et me tourne, déposant mes jambes sur l'accoudoir de mon trône et me décrasse lentement et sans gène les dents .

Beaucoup d’heures ont passées dans cette position, quand une jeune femme ouvrit à la volée les portes, obsédant mon regard. Les lambris, vert de gris, se soulèvent dans une secousse de vent et viennent retomber dans une pirouette, sur le sol marbré. J’expire profondément et me mets à hurler .

-QUI ME DÉRANGE PENDANT MON RÉCURAGE ?!

Je me replace donc vers l’entrée et me lève, descendant quatre à quatre les trois marches de mon estrade et m’avance sans m’arrêter vers la jeune femme. Sa chevelure est rousse et vague sur ces frêles épaules, blanche et tremblante. Je lui agrippe la mâchoire en la serrant. Un soupir de douleur se glisse entre ses petites lèvres charnues et froides. Elle m’arrive à peine au torse et est toute petite. À peine douze ans la pauvre.

-Que me vaut ta visite ? Espérons pour toi que ta raison soit bonne petite idiote.

Je me tournai vers deux de mes sujets qui riaient jaune et les coupa d’une autre main. L’heure n’était pas à la rigolade. Je fronce les sourcils et plonge mes yeux bleus ciel dans ses yeux verts émeraude, penchant légèrement la tête vers la gauche, une de mes mèches cachant un de mes yeux et lui fit un clin d’œil léger. Son regard était apeuré .

-J-Je ..

-Oui ma belle. dis-je en passant une main dans sa crinière et glissant mon index sur les contours de son visage.

-Un traitre … Dans le royaume. Il vous dénonce à l’autre roi.

-QUOI ? CHIMÈRES ! hurlais-je, la lançant contre une balustrade ouverte et me mit à faire les cent pas MES SUJETS SONT LOYA…

Je me tournai donc vers eux, faisant le tour des quatre gardes qui étaient présent. Leur jetant à chacun un regard meurtrier leur demandant si c’était eux et bien entendu chacun me répondirent que NON ! Je donnai un coup de pied dans un pot de poterie offert comme pot de vin et hurlait.

-QUI ? JE VEUX SAVOIR QUI EST-CE !

Je courrai vers la jeune femme et la poussa sur le rebord d’une fenêtre et approcha mes lèvres de son oreille.

-Je veux un nom. MAINTENANT !

Elle cria et se mit à pleurer légèrement, levant légèrement la main, toute tremblante vers l’un des gardes à l’armure azure qui ne regardait pas dans notre direction. Je le vit déglutir et sortit subtilement ma dague de mon fourreau, me dirigeant vers lui.

-Tes mensonges et ta déloyauté paieront de ta traitrise. La mort par la mort.

Je levais ma main et tenant la lame. Je pointais le manche vers la jeune femme et lui dicta de s’avancer.

-ALLEZ ! AVANCEZ !

Elle fit donc ce que je lui demandai et pris, en laissant tomber ma dague lourdement et s’avança devant l’homme. Je lui jeta un regard rapide et le glissa sur le traitre, poussant dans le creux de son épaule pour le mettre à genoux devant la dame et partit, nonchalant, m’assoir, regardant le spectacle, ma jambe tanguant lentement.

-Allez-y . . .

Un silence régna et un souffle de douleur, puis le corps de l’homme tomba sur le marbre, son armure cliqueta et sa respiration était haletante. Je souriais, tout simplement. Il n’y avait rien d’autre à faire. La rousse tenta de s’enfuir, mais j’avertis deux gardes de l’en empêcher.

-Qu’elle meurt.

Je balayais l’air d’un geste las de la main et pencha la tête par l’arrière, m’endormant sur les supplications de la jeune femme.

-Mais je vous ait aidé !

-Je n’aime pas les portes-paniers. Soufflais-je.
Je suis Zakarÿ Baldr Malraöok . Roi de Aetarh.

((SACHEZ QUE JE NE FERAIS PAS TOUJOURS DES AUSSI GROS RP XD ))

Au plaisir qu'il vous plaise

Bonjour et Bienvenue!

Alooooooooooooors, ton style d'écriture est plaisant, il accroche même le sourire aux lèvres, cependant, je n'ai pas lu jusqu'au bout.
Les fautes m'ont freinées.
Tout le monde en fait, je le conçois. Mais s'il te plait, relis toi. Corrige tout ça, et ensuite, je prendrais le temps de tout scruter convenablement.
Pour un personnage massacreur, massacre fermement tes jolies petites fautes!

Bon courage.

.... Merci à toi . ...

Bon voilà , je suis heureuse que la façons dont je le joue te plais .
Désoler pour les fautes je fait beaucoup de fautes au niveaux des verbes et des homophones .
J'ai essayer de révisée du mieux que je l'ai pue .

Voilà .